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Il était beau. Ce grand brun aux yeux verts.
Il était doux, et attentionné.
Il faisait tout, il disait trop.
Adieu mes rêves de Cendrillon.
Encore.
Mais ce petit châtain timide a déboulé.
Encore.
Mais ce petit châtain timide a déboulé.
Il est arrivé, sur son cheval fade.
Il donnait trop, je me donnais peu.
Il aimait énormément, j'étais vidée.
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Je m'excuse. Encore et toujours.
Je ne me contente jamais de ce que j'ai.
Mais je sais que c'est justifié.
Je ne me contente jamais de ce que j'ai.
Mais je sais que c'est justifié.
Un mot doux pour toi.
Un mot dur pour moi.
Je veux quitter, je reprends.
Je n'ai jamais su ce que je voulais.
Alors je cherche compliqué.
Je n'ai jamais su ce que je voulais.
Alors je cherche compliqué.
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Un jour certainement, tu vas te lasser.
Mais j'essayerai de renouer tes chaussures.
Et je jouerai la Belle au bois brulé.
Mais j'essayerai de renouer tes chaussures.
Et je jouerai la Belle au bois brulé.
Alors tente de pardonner mes excès,
Mes beuveries trop franches.
Et dans ce cas, je saurai qu'il est possible.
Que ça marche,
Et sans talons aiguilles.
À Lui.
Et sans talons aiguilles.
À Lui.
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Un jour viendra, où je n'aurai plus peur,
Où je donnerai spontanément.
Et où je n'aurai pas peur d'avoir mal.
Où je donnerai spontanément.
Et où je n'aurai pas peur d'avoir mal.