Cesar-Hyene

Une bulle verte chez les Martiens

Mercredi 23 mai 2012 à 8:37

Et Maintenant ?


Je me suis levée du pied gauche de bon matin.
Et le pied gauche n'est pas pour moi représentatif d'une mauvaise journée.
Après six heures de sommeil, je me sentais bien.
Une douche plus tard, je sens l'engourdissement dans mes paupières.


Redécouvrir les plaisirs d'un jus d'orange le matin mêlée à une cigarette.
Je n'ai pas de télévision et ne m'en sentais pas plus mal avant ce début de semaine.
Mais une présence me manque durant mes longues journées à 'zoner".
Il est difficile d'être souvent bien. Et sans connexion avec le monde, sa bulle se ferme.


Mes animaux ne se font pas à mon nouveau rythme.
Et actuellement ils dorment après m'avoir asphyxié de câlins.
Je vais certainement lutter ce jour, pour ne pas m'endormir.
Et trouver des occupations sans revenus n'est pas chose facile.


 
Aujourd'hui, je jonglerais.
http://cesar-hyene.cowblog.fr/images/Photo0409.jpgPoint.

Vendredi 11 mai 2012 à 3:24

Et Maintenant ?

http://cesar-hyene.cowblog.fr/images/Photo0286.jpg
J'ai fait quelque chose à ne jamais faire.
Les Histoires d'Amour finissent mal, en général.
J'en ai marre de fermer ma gueule.
De subir depuis 7 mois.


Le requin est de retour.
Qui a dit qu'il fallait subir pour être heureux ?
Absolument personne. Alors je me retrouve avec mon caractère d'antan.
Et je n'en suis pas moins fière, même si je blesse.

*

Il ne faut jamais oublier...
Ce qu'on est,
On a été.
Trop abandonnent.
S'il vous plait, ne soyez pas/plus de ceux là.


Voilà une musique, commerciale, que j'apprécie en ayant vu la traduction,
même si je hais ce genre de commerce et que beaucoup ont trop entendu : 

 

Jeudi 10 mai 2012 à 15:43

Il fut un temps

Ou l'article Inutile.


V
oyons grand.
Il est temps d'arrêter de se contenter de si peu.
Avec un peu de volonté, on réussi tout.


Point.http://cesar-hyene.cowblog.fr/images/Photo0263.jpg

Jeudi 10 mai 2012 à 5:25

Et Maintenant ?

"Les cauchemars ne sont en fait que des rêves, en plus réalistes."
D. Vallat
 


J'aurais aimé ne jamais tout abandonner, les pots cassés se ramassent l'année qui suit.
J'aurais aimé être plus courageuse, moins peureuse que je ne le dis.
J'aurais aimé être belle, non, pas pour plaire à autrui, mais à moi-même.
J'aurais aimé ne jamais avoir peur de l'Amour, de l'Avenir, et du Présent.
J'aurais aimé n'être que seule au monde, juste une semaine.
J'aurais aimé ne jamais les avoir rencontré. Tous, ou beaucoup d'entre eux.
J'aurais aimé savoir manier les armes, jouer moult instruments.


Place au présent. J'aimerais donc, en bonne utopiste, que les gens soient francs.
Les mensonges restent souvent, à mon grand dam, encore bien cachés.
Les vérités sont toujours bonnes à dire. Je préfère être libérée d'un poids, que de
ressentir quelconque trahison. Et à cette heure, j'aimerais arrêter d'écrire, j'aurais voulu
ne jamais être réveillée par cette douleur au cœur. 

On ne choisi pas tout. Mais j'ai au moins choisi d'être heureuse.
A quoi bon se torturer. La conscience des autres fera l'affaire en cas de doute.

 
Ne reste plus qu'à se dire, maintenant, je vais.
 


J'aurais aimé être belle. Comme Pocahontas.
http://cesar-hyene.cowblog.fr/images/Photo0247.jpgJ'aurais aimé colorier des montgolfières.

 

Jeudi 10 mai 2012 à 0:32

Aristote disait

On s'enterre tous dans une relation un jour ou l'autre. Et ce, sans s'en rendre compte. On se complait dedans, jusqu'à un détail.
Qui nous met la puce, la tique à l'oreille. Et doucement, on coule vers le fond, où l'on y a préalablement déposé du verre brisé.
Peu importe la nature profond de chacun, on y va, consciemment, sans essayer de lutter. Perdant toute estime de soi, et se laissant aller.
Les horizons semblent vastes, et si verts. Mais on en oublie que c'est un effort de tous les jours. Et qu'une relation se construit, petit à petit.


Je ne me suis jamais vraiment lassée, mais s'étaler est inutile. Les sortis qui se font de plus en plus rares, les amitiés perdues, et la bouffe à profusion.
La monotonie fait partie intégrante des longues journées. Et chacun s'étouffe, confondant amour avec emprisonnement.
C'est très flou une histoire de sentiments. D'un extrême à l'autre, on se perd, et on perd l'autre dans sa descente. Perplexe entre indépendance et concubinage.
 


Il faut à un moment reprendre sa vie là où on l'a laissé. Raviver notre égo, notre joie de vivre, en faisant profiter l'autre de ces joies du quotidien.
 

http://cesar-hyene.cowblog.fr/images/500daysofsummer3.jpg
Le Tire-Tic, c'est ce qui m'a donné l'inspiration de ce titre. Pas très original de prendre la première chose devant soi.
C'est un peu comme l'épine dans le pied, une vaste relation amoureuse perdue, et un jour, on tombe dessus. Le Tire-Tic.
Et là le poids se libère, une bonne gifle verbale, dans les deux sens, et l'animal, suceur de sang, se retire doucement.
Les concessions se font à double sens. Après tout cela, on respire, et à deux c'est mieux.

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